Dans un monde de plus en plus connecté, les institutions publiques, les collectivités, les gouvernements et les associations font face à une multiplication des cybermenaces, allant de l’espionnage numérique aux attaques par rançongiciels. En 2024, plus de 70 % des collectivités locales françaises ont été confrontées à des tentatives d’intrusion informatique. En Suisse, selon le Centre national pour la cybersécurité (NCSC), les attaques signalées contre les administrations publiques ont augmenté de 30 % par rapport à l’année précédente.
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En 2024, la France et la Suisse ont connu une hausse significative des cyberattaques visant les institutions publiques, les gouvernements et les associations. En France, plusieurs ministères ont été la cible d’attaques d’une « intensité inédite », revendiquées par le groupe Anonymous Sudan, utilisant des attaques par déni de service distribué (DDoS) pour perturber les services gouvernementaux.
Par ailleurs, un plan élaboré par le service de renseignement militaire russe (GRU) a été découvert, visant à déstabiliser la France à travers des cyberattaques ciblant des entités publiques et privées, notamment à l’approche des Jeux Olympiques de Paris 2024.
En Suisse, le collectif pro-russe NoName057(16) a paralysé les sites web de banques cantonales et de communes pendant le Forum économique mondial de Davos, à l’aide d’attaques DDoS massives. Le pays a également constaté une hausse alarmante du phishing et des fraudes en ligne, avec une augmentation de plus de 1000 % en 2024, classant la Suisse parmi les pays les plus visés en Europe.
Ces événements soulignent l’urgence pour les institutions publiques de renforcer leur posture de cybersécurité. L’intégration de solutions basées sur l’intelligence artificielle permet une détection proactive des menaces et une réponse automatisée, assurant la protection des infrastructures critiques et des données sensibles.
Les attaques les plus courantes sont les attaques par déni de service distribué (DDoS), le phishing, les rançongiciels (ransomware), et les intrusions visant à voler ou corrompre des données sensibles.
Une attaque non détectée peut entraîner une perte de données critiques, un arrêt des services publics, une atteinte à la réputation et de lourdes sanctions réglementaires.
Les institutions publiques gèrent des données sensibles qui, si elles sont compromises, peuvent mettre en danger la sécurité nationale, la vie privée des citoyens et la continuité des services essentiels.
L’IA permet d’automatiser la détection des menaces en analysant en temps réel des volumes massifs de données, détectant ainsi rapidement les comportements anormaux ou suspects.
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Pas toujours. Beaucoup manquent de ressources et de protection adaptée.
Elles doivent mettre en place des audits réguliers, installer des systèmes de détection et réponse aux incidents (SIEM, EDR), former leur personnel, et adopter des solutions de cybersécurité avancées intégrant l’IA.
La conformité au RGPD en France et à la LPD en Suisse est essentielle pour protéger les données personnelles et éviter des sanctions lourdes en cas de faille.
Les attaques contre les gouvernements et les organisations proviennent principalement de groupes de hackers organisés, d'États-nations cherchant à espionner ou déstabiliser, de cybercriminels motivés par le profit, et parfois de hacktivistes poursuivant des objectifs idéologiques ou politiques. Ces acteurs utilisent diverses techniques pour compromettre la sécurité des institutions publiques.